Le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine demande à toutes les parties prenantes burundaise à participer au cinquième round du dialogue inter-burundais prévu du 18 au 24 octobre 2018, à Arusha. Dans son communiqué, ce conseil appelle la commission de l’Union africaine à accompagner le Burundi dans ses efforts en vue de la tenue d’un dialogue inclusif.
Selon le communiqué sanctionnant la 794ème réunion, tenue en date du 19 Septembre, le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine dit avoir pris note de la paix et de la stabilité au Burundi. Par conséquent, ledit conseil révèle avoir prorogé le mandat de la commission de l’observateurs de droit de l’homme et des experts militaires et réduit le nombre de ces derniers tout en ayant à l’esprit la paix et la stabilité prévalent au Burundi.
Ce pendant, le Conseil encourage toutes les parties prenantes à participer au cinquième cycle du dialogue inter-burundais, prévu du 18 au 24 octobre 2018, à Arusha, en Tanzanie. Le conseil de paix et de sécurité de l’UA qui salue les efforts qu’il qualifie d’inlassables dans le processus de paix au Burundi du médiateur , le président Ougandais Yoweli Mseveni et des facilitateur B. Mpaka, appelle la commission de l’UA à accompagner le Burundi dans ses efforts en vue de la tenue d’un dialogue inclusif, et que la démocratie et le respect des droits de l’homme soient renforcés.
Toutefois ce conseil, poursuit ce communiqué , réitère son attachement au respect de la lettre et esprit de l’Accord d’Arusha. Néanmoins, ce conseil de paix et sécurité , renchérit le communiqué, rappemme l’appel lancé par la Conférence des chefs d’État et de Gouvernement de l’UA, tenue les 1er et 2 juillet 2018, à Nouakchott, en Mauritanie pour que l’Union européenne lève les sanctions imposées au Burundi, en vue de faciliter le redressement socioéconomique du pays.
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