Le défenseur des droits des droits humains là où il se trouve sous les verrous à la prison centrale de Mpimba a été ému le message de soutien qui lui a été envoyé par la fondation Henry Dunant ce vendredi lorsque les membres de la société civile lui ont rendu visite à la prison centrale.
il ne cessait de sécher ses larmes mais sans succès lorsque les défenseurs des droits humains lui ont adressé cette correspondance.
Un mouchoir à la main, Pierre Claver Mbonimpa n’a pas hésité de verser ses larmes en signe d’expression de cette joie sublime à son égard que la fondation lui a encore témoignée en signe soutien pour son œuvre dans la promotion des droits humains même là où il est incarcéré.
« La communauté des défenseurs des droits humains te dit courage, nous pouvons que t’encourager.
Nous aussi nous ne sommes pas épargné si tu es sous les verrous », a souligné Pacifique Nininahazwe en lui remettant cette correspondance.
Les activistes de la société civile ont aussi demandé au pouvoir de Bujumbura de ne pas oser prendre les vacances judiciaires d’aout en laissant Pierre Claver Mbonimpa aux prises avec ses geôliers.
« Nous en profitons pour demander à la justice Burundaise de porter cette affaire en audience publique avant le début des vacances judiciaires puisque Pierre Claver Mbonimpa est vraiment malade », a rappelé de sa part Vital Nshimirimana, du FORSC.
Les membres de la société civile engagées dans la campagne vendredi vert estiment que les juges qui pourraient être influencés par la chanson en décidant à propos du procès Mbonimpa comme l’a fait entendre le Conseil National de la Communication lorsqu’il a interdit la diffusion de la chanson Rekuriyo iyo ntama, (Liberez ce mouton en français) , devraient retourner dans les auditoires pour dire le droit.
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